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Assassinat (M-Meuchelmord)

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Salute,

Voici ma deuxième traduction de l’allemand aux français. Comme la dernière fois, c’est un Drabbel de ma collection de FF. Elle fait partie de mon recueillie sur l’histoire autrichienne, „Rot-Weiß-Rot im Alphabet“ (Rouge-Blanc-Rouge dans l’alphabet), qui traite surtout des aspects historiques peu connu. Bon… il me reste que dire bonne lecture. Peut-être je réussis de finir une autre traduction jusque au début de l’été.

Lg, Sternenschwester

PS: corrigé et relu par Akebono mimichan (un grand merci pour ça!)

Assassinat (M-Meuchelmord)

La scène décrite se passe en l'an 994. L'évêque de Würzburg avait organisée une fête, pour réconcilier l'un de ses chevaliers avec le neveu du margrave du territoire d'Ostarrichi (Le début de l'Autriche, dont le territoire avait la taille de la basse et haute Autriche). Ce margrave était Leopold I, de la famille

des Babenberger. Ces descendants créeront les bases de l'Autriche (Sans leur travail pendant 200 ans, les Habsburg n'auraient jamais pu faire de l'Autriche, ce qu'elle est devenu) Pendant les activités sportives, un copain du chevalier voulut se venger et tenta un attentat sur le neveu, mais la flèche toucha le vieux margave qui est mort sur le champ. Un peu ironique l'histoire.
 

Au moment où la flèche atteignit sa cible, un cri secoua la foule.

La première chose que Roderich sentit fut le sang qui aspergea sa joue.

Les chevaliers qui étaient en train de se saluer sur place, pour le début du tjost, s'arrêtèrent.

Pourtant la seule chose vue par le petit margraviat était la chute en avant du corps de son seigneur, avec une flèche dans la poitrine, et comment une grande mare de sang se rependait sur le sol de la tribune.

L'évêque qui avait organisé le festin pour la réconciliation aboyait en panique des ordres à ses gardes. Le neveu de son seigneur, penché par-dessus le mourant, exigeait un rebouteux, pendant que la foule devenait de plus à plus nerveuse.

Mais toutes ces voix furent exclues de la perception du petit Ostrarrichi. Seule l'exclamation silencieuse du Babenberger résonnait dans ses oreilles. Il ne pouvait pas détacher ses yeux de cet homme qui, pendant presque plus de deux décennies, avait dirigé son sort. Avec les doigts tremblants, il passa sa main sur sa joue. Il regardait complétement stupéfait le sang sur les bouts de ceux-ci. Il ne remarqua même pas Braverie lorsqu'il le prit dans ses bras et le transporta ailleurs que sur la place du crime.

Plus tard, quand ils s'étaient retirés dans la pièce qui leur avait été attribuée comme chambre d'hôte, le duché plus âgé, essayait de consoler le petit margraviat dont les larmes coulaient, dans le plus grand silence, sur ses joues pleines de sang. Mais il n'avait aucun succès dans sa démarche. C'était la première fois, depuis la disparition de sa mère Noircum, que Roderich pleurait de tout son cœur.



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Kommentare zu diesem Kapitel (1)

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Von:  konohayuki
2014-01-22T19:32:51+00:00 22.01.2014 20:32
~Kommentarfieber~

Eigentlich sollte ich Internationales Recht nochmal durchschauen, aber ich kann mich gerade nicht dazu aufraffen. Also, doch noch eine französische Fanfic ;)

Erstmal bin ich echt froh, dass ich in deinem Profil gesehen habe und da die Sache mit dem "Salute" gelesen habe. Das wollte ich nämlich schon als Fehler anmerken, als ich mich dran erinnert habe, das da ja was war.

Was mir nicht so gut gefallen hat, ist das Vorwort im im Kapitel. Nicht vom Inhalt her, das war durchaus berechtigt und eine gute Hintergrundinfo, mit der der Text einfacher zu verstehen und einzuordnen ist.
Allerdings hätte ich den Text in der Kurzbeschreibung - oder im Autorenvorwort/-nachwort Kästchen - doch besser gefunden, einfach der Übersicht halber. Wenn du es dort stehen lassen willst würde ich empfehlen, es kursiv zu setzen.

Was die Geschichte angeht so finde ich, dass du die Gefühle von Roderich sehr gut eingefangen hast. Ich kann mir die Szene wirklich vorstellen, man merkt, wie viel ihm sein Herr bedeutet hat. Man kann direkt fühlen, wie nah ihm der Tod geht, wie sehr er davon getroffen ist.
Vor allem der letzte Satz geht einem echt nahe, vor allem weil der Fakt, dass Roderich das letzte Mal so geweint hat, als seine Mutter verschwunden ist, noch einmal verdeutlicht, was sein Herr für ihn bedeutet hat.

>Voici ma deuxième traduction de l’allemand aux français.<
In dem Kontext benutzt man nicht die Präposition "à". Entweder übersetzt man "un texte allemand en français", oder man macht eine "traduction de l’allemand vers le français".

>Drabbel<
Die korrekte Schreibweise ist Drabble, da hat sich ein kleiner Buchstabenverdreher eingeschlichen.

>Elle fait partie de mon recueillie sur l’histoire autrichienne<
"Recueillie" ist ein Adjektiv (zumindest sagt mir mein Wörterbuch das). Das passende Substantiv, welches du hier bräuchtest, wäre "recueil".

> des aspects historiques peu connu<
"peu connus" Ich bin mir nicht ganz sicher, aber ich meine man muss das hier angleichen.


> Peut-être je réussis de finir une autre traduction jusque au début de l’été.<
"jusqu'au"


>corrigé et relu par<
Ich weiß nicht ob Akebono mimichan weiblich oder männlich ist, ich gehe aber von ersterem aus. Da müsste man dann angleichen "corrigée et relue par".


>L'évêque de Würzburg avait organisée une fête<
Da der "évêque" männlich ist, müsste "organisé" dementsprechend männlich angeglichen sein.


>Ce margrave était Leopold I, de la famille<
des Babenberger.<
Das Komma braucht hier nicht gesetzt zu werden.


>[...]les Habsburg n'auraient jamais pu faire de l'Autriche, ce qu'elle est devenu[...]<
Hier müsste, wenn ich mich nicht ganz irre, das "devenu" angeglichen werden nach "devenue", da es sich auf Autriche bezieht, was ja weiblich ist (natürlich nicht Roderich, aber das Wort an sich ;)). Das Komma nach "Autriche" braucht nicht gesetzt werden.

>[...]mais la flèche toucha le vieux margave qui est mort sur le champ.<
Da hat der "margrave" ein r verloren.


>Seule l'exclamation silencieuse du Babenberger résonnait dans ses oreilles.<
Da bin ich mir nicht ganz sicher, ich hätte aber eher "Seulement" statt "seule" gesetzt.

>Il ne remarqua même pas Braverie [...]<
Bayern ist "la Bavière".

Großes Lob möchte ich dir für die Nutzung der Zeiten aussprechen, da hab ich meistens meine lieben Probleme mit (vor allem, weil uns in der gesamten Schulzeit gesagt wurde: Passé simple? Nee, braucht ihr nicht, benutzt man gar nicht mehr, müsst ihr nur erkennen können. Was zur Hölle, natürlich benutzt man das noch. Welcher Autor benutzt denn Passé composé? In den ganzen französischen Büchern, die ich besitze, wird's immer benutzt. Das beißt einen dann doch irgendwo im Studium in den Hintern, dass man das nie wirklich gemacht hat.).
Soweit ich gesehen habe, war da alles okay mit den Zeiten, was, wie gesagt, ein großes Lob verdient. Einfach sind die schließlich nicht.

Auch Roderichs Charakterisierung ist dir wieder einmal gelungen. Alles in allem ein gut geschriebenes Geschichtchen, das ich gut zu lesen fand.

Liebe Schreibziehergrüße,

konohayuki


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